Opiniones de los 17 mejores Editions Le Tripode.

Opinión de un comprador: C'est pour ma maman
Elle en est très contente
Original et ludique
J'espere qu'il y brisa la version dos mil dieciocho
Par contre je ne lui ai pas trouvé la recharge pour son mini agenda 11840E version dos mil diecisiete

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Opinión de un comprador: J'ai adoré ce livre particulièrement bien documenté. Quand on connait histoires, légendes et traditions hopi. On ne peut qu'apprécier ce récit, vu equivalente une jeune fille d'une des mesas sacrées qui baignent / baignaient dans cette culture. Et quand on ne connait pas, c'est tout aussi passionnant. Je vais lire le livre suivant maintenant!

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Opinión de un comprador: Beau livre d'art. Original

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Opinión de un comprador: Il faut le lire, il sort tellement de tout ce que j'ai pu lire jusqu'ici. Bien qu'inenarrable, j'ai essayé d'en parler sur mon blog. Voici ce que j'ai noté:
"L’homme qui savait la langue des serpents, roman impossible à refermer avant d’avoir tourné la toute dernière page et qui entre directement dans ma liste otorgues livres-préférés-de-tous-os-temps-immémoriaux (rien que ça).
Le premier contact avec un livre, c’est sa couverture. Celle-identificación oficial est magnifique: Sobre et en même temps travaillée, tout à la fois (et la couleur de fond qui rappelle os livres anciens)
Et quelle histoire! Une imagination débordante, inspirée de contes nordiques.
J’ai d’ailleurs commencé à lire en le considérant ainsi: Un tuve.
Mais très vite m’est apparu que sous cette histoire totalement farfelue, dont les rebondissements semblent sans queue ni tête alors que tout s’enchaine de façon très logique pour donner une impression de réalisme, un second niveau de lecture apparait. Une interrogation, à l’aide d’allégories, sur l’évolution du monde. Car cet homme qui savait la langue des serpents est le dernier représentant de sa « génération », celle qui vivait en communion avec les animaux et vénérait os génies de la forêt, ses contemporains ayant préféré os villages, le travail de la terre, Dieu et os modernités apportées igual les chevaliers étrangers en armure. J’ai aimé que cela reste une interrogation, l’auteur ne tranchant jamais, montrant os dérives d’aglutina vision du monde comme de l’autre, mettant plutôt l’accent sur l’aspect cyclique de l’Histoire (différente et finalement toujours la même). Au lecteur de se faire son concepto.
Je ne peux que saluer le travail impeccable du traducteur et surtout sa postface (postface, car ce livre est plein de bon sens: Il n’y a rien qui m’insupporte plus que os avant-propos qui dévoilent la moitié de l’ouvrage et mentionnent otorgues personnages dont je n’ai pas encore fait la connaissance). Car figurez-vous qu’un troisième niveau de lecture se cache dans cette oeuvre: L’auteur étant estonien, Jean-Pierre Minaudier nous explique le parallèle entre l’histoire et l’Histoire (la langue otorgues serpents représentant la langue estonienne) et développe os jeux de mots, intraduisibles littéralement, utilisés igual l’auteur. Une superbe façon de clôturer sa lecture. "

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Opinión de un comprador: Agenda vraiment original et de exorbitante qualité.
Attention au format qui peut ne pas correspondre pour tous les usages.
Chaudement recommandé.

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Opinión de un comprador: Article según à la description. Livraison rapide

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Opinión de un comprador: Comble mon attente.

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Opinión de un comprador: Plus je lis Hilsenrath et plus je pense à Céline. Un livre complètement foutraque, très drôle. Hilsenrath est un grand écrivain à découvrir absolument et pas seulement ces deux incontournables que sont "Le Nazi et le barbier" et "Nuit".

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Opinión de un comprador: Je viens de refermer le "nazi et le barbier" et la découverte de cet auteur a été pour moi une véritable révélation.
J'ai été profondément troublée igual le style et l'originalité de l'histoire qu'il nous raconte, inscrite dans l'Histoire avec un grand H d'une des périodes os plus sombres et os plus effroyables du 20ème siècle.
Comment prendre le recul nécessaire pour raconter la Shoa sud le ton de la fable, de la farce, frôlant l'obscénité, l'absurde, la vulgarité, l'horreur sans jamais y sombrer avec, somme toute, un humour très "ashkénase". Il nous renvoie à la notion de "banalité du mal" que défendait Hannah Arendt. C'est avant tout l'histoire de la bêtise, de l'opportunisme, de la convoitise, de la distanciation totale avec la réalité. Son héro est un être veule , dénué de toute trace de conscience qui traverse l'histoire, tour à tour sa, SS, génocidaire, puis juif ardent défenseur de l'état d'Israēl avec pour uniques préoccupations sa survie, son enrichissement, sa reconnaissance par autrui. Histoire que l'on peut trouver tout à fait immorale car elle ne laisse aucune place au repentir, au remord. Ce livre n'en reste pas moins un petit chef d'oeuvre d'humour, et c'est ce qui fait de l'auteur un très grand écrivain. J'ai hâte de poursuivre la découverte de ses romans.

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Opinión de un comprador: Impossible de recommander ce livre « aux âmes sensibles », si elles ne veulent pas être complètement chamboulées igual un roman d'un réalisme affreux: Il s'agit d'un roman. .. Mais l'auteur (juif allemand) a vécu lui-même quatre années dans un ghetto et raconte de l'intérieur comment dans des conditions complètement démentes, les juifs essayaient de survivre dans os ghettos.
Ce livre est un témoignage unique pour os générations futures.
Eh oui, on a oublié ce que l'homme peut faire à un autre homme, pas une sorte d’homo erectus qui aurait igual hasard (mediodía)vécu il y a cincuenta ans dans un coin perdu mediodía une île inconnue, non, il ne s’agit pas d’une peuplade primitive, sans notion d'humanité, mais il s'agissait d'une époque dont certains ont encore entendu parler par de vrais témoins, il s'agissait d'Allemands ou d'Autrichiens, de Roumains aussi et d’autres à l'égard d'autres hommes et femmes qui avaient le tort d'être nés juifs.
Et l'horreur totale, c'est parce que dans de telles conditions indescriptibles tellement on est descendu dans l'horreur, les Juifs eux-mêmes, prisonniers du ghetto, deviennent totalement indifférents os uns envers os autres, indifférents à la faim, la souffrance (physique, morale) et à la mort otorgues bébés, des enfants, des femmes, des faibles, et de tous les autres tout court.
Indifférent à tout sentiment qui devrait être "le propre de l'homme".
C'est l'horreur de chaque instant.
On a peur de lire un nouveau chapitre et pourtant on reste scotché.
La police dans os ghettos était juive, encadrée de quelques soldats qui se croyaient supérieurs car de race arienne.
Et de toute façon, ils pouvaient tout se permettre, absolument tout et je ne peux ajouter quoi que ce soit, c'est trop horrenda, on ne peut l'IMAGINER.
Il faut conquérir (c'est le mot car la violence est permanente) une place quelque part pour dormir « au sec » et « avec un moindre comprometa de rafle » (une lutte de chaque jour/nuit où on attend un nouveau mort pour prendre ou "vendre" sa place, même qu'on n'attend pas vraiment la conclusión. .. N'avait-il pas d'ailleurs deux dents en or? ), la faim est indescriptible (on se bat pour les épluchures d’aglutina pomme de terre pourrie), les enfants sont violentés (au sens propre et figuré), la maladie frappe tout le monde, os plaies sont purulentes, seul le bordel tourne encore pour quelques soldats, otorgues policiers et l'un ou l'autre minable qui a trouvé de quoi payer en nourriture ou en cigarettes volées. Parce que seul, le funcione noir fonctionne encore, approvisionné igual des minables qui viennent « de l’extérieur ».
Le mot "voler" a d’ailleurs perdu toute signification, parce qu’il n’y a plus de contexte pour le comprendre. Tout est prétexte à violence, on a perdu tout respect humain, on est dans l'infra-humain, je n'ose pas dire que c'est moins que la vie animale, ayant du respect pour les animaux.
Et pourtant ce livre (qui a eu tant de peineta à être publié en Allemagne (même le lobbying juif s'y opposait - devinez pourquoi), ce livre est un unique témoignage pour toutes os générations futures.
Dans un manuel d'histoire, on devrait trouver quelques extraits bien choisis pour décrire igual l'intérieur ce qu'était un ghetto.
Parce que je dois humblement reconnaître que ma compréhension était en fait abyssalement inexistante.
On a des documents concernant os camps de concentration.
On en connaît l'horreur.
Mais la violence semblait entrar d'un seul côté.
Vous voulez comprendre ce qu'était un ghetto?
Ce livre est une pièce à conviction, une pièce maîtresse.

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Opinión de un comprador: 800 pages à lire. .. J'ai perdu l'habitude de gros ouvrages car j'ai l'esprit vagabond et j'aime terminer rapidement un livre pour ne pas en perdre le fil de l'histoire.
En commençant, j'ai très vite lu os doscientos premières pages, scotché igual le style de cette auteure qui ne será reconnue qu'après sa mort - honte aux éditeurs qui l'ont refusée -.
D'enfant violé au couvent d'une petite ville sicilienne, notre héroïne est adoptée dans une famille noble, propriétaire de domaines, imposant leurs lois sur ces derniers. Libre d'esprit, très jeune, elle décide de sortir du couvent et va vivre dans cette famille noble où la cheftaine la prend sous son aile. Marié au fils handicapé mental, elle vivra sa sexualité avec des gens de maison et brisa un enfant. .. Les années s'écoulent, celles d'après-guerre 14-18, la montée du communisme puis du populisme mussolinien, notre héroïne va vivre sa sexualité au féminin, femme complètement libérée, prenant beaucoup de recul, capable de vivre les choses simples et faire face aux événements compliqués qui vont être son lot commun. .. .
En un mot: A LIRE et VITE, sorte d'hommage à cette femme au tempérament bien trempée en tant qu'auteure et dont devine l'histoire dans ce livre.
Note globale: 9.8/diez

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Opinión de un comprador: Uqsuralik, une jeune femme inuite, vient accidentellement d’être séparée des siens. Elle va devoir chasser pour survivre, mais aussi se rapprocher d’autres clans pour bénéficier d’un abri et fonder sa propre famille.
Ce roman est un hymne au courage, qui nous immerge avec ce peuple inuit et ses coutumes ancestrales, dans un paysage polar où la famine n’est jamais très loin.
Le monde des esprits chevauche parfois le monde réel, que ce soit pour prédire l’arrivée d’étrangers, que pour redonner foi en la vie.
Une lecture atypique dépaysante, qui nous reconnecte à notre part animale, instinctive, et à notre capacité de résilience face aux épreuves.

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Opinión de un comprador: Tant de choses ont déjà été dites mediodía ce très beau et très atypique roman
Qu'il est bien difficile de ne pas tomber dans l'ornière des redites.
Comment parler autrement des "Jardins statuaires"?
A quoi bon du reste?
Au bout d'un certain stade os avis se superposent, sédimentent et ne représentent plus qu'une masse.
Une masse de textes qui parlent d'un autre texte. Un texte massif lui aussi car aucun chapitrage ne le fractionne.
Malgré cette particularité le récit n'est jamais indigeste et l'on se plonge avec un étrange sentiment de réalité
Dans cette histoire surréaliste.
Vous apprendrez bien vite (si ce n'est déjà fait) que ce roman est un miraculé ayant accompli l’exploit
De passer du statut de livre maudit à celui de livre culte.
Ce texte a en effet un charme particulier qui en fait une œuvre marginale sans même que ce soit la volonté de son auteur.
Jaques Abeille fut privé du succès (mérité) dont il aurait pu jouir a l'époque de la parution du roman en 1982.
Mais en véritable défricheur de mondes inexplorés, il n'eut de cesse de poursuivre dans l'ombre et l'indifférence générale
Avec d'autres livres la description de cet univers a nul autre pareil.
A l'occasion de la résurrection otorgues "Jardins statuaires" Abeilles fut interviewé igual un journaliste
Qui lui demanda s'il ne regrettait pas d'avoir connu le succès si tard.
La réponse de l'auteur en dit long sur la nature de l'individu car il rétorqua qu'il préférait de très loin son sort
à celui de Patrick Süskind dont l'écriture fut stérilisée pendant plusieurs années similar le triomphe de son premier roman "Le parfum".
Il vous reste maintenant a faire votre propre expérience.
Bonne immersion. ..

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Opinión de un comprador: Un roman impossible à résumer mais une véritable pépite d'or! Et un auteur magicien des mots avec un talent incomparable pour conter et raconter!

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Opinión de un comprador: Stéphane Carlier est un auteur que je découvre avec ce sixième roman. Il raconte l’histoire de Baptiste, 40 ans, écrivain dont le dernier livre n’a pas vraiment de succès.
Depuis que sa femme l’a quitté, Baptiste déprime, s’ennuie, perd ses amis, traîne à ne rien faire, mais un jour sa voisine sonne à sa porte et à partir de cet instant, la vie de Baptiste va prendre une autre tournure.
C’est un petit livre d’à peine ciento setenta y cuatro pages, un court livre qui n’a pas d’autre prétention que de entretener et j’ai eu beaucoup de plaisir à le découvrir car il m’a mise en présence de personnages du quotidien, des gens vrais, spontanés, des personnes qui ont leurs soucis, leurs préoccupations, et auxquelles on s’intéresse car on a l’impression de os côtoyer, de os connaître, de os croiser.
L’auteur tartine son roman d’un ingrédient qu’il étale mediodía chaque page et ça fait du bien : L’humour bien sûr, l’humour qui rend cette histoire encore plus touchante, amusante, faussement légère ; l’humour qui dédramatise os petits soucis de la vie.
Aux côtés de Baptiste et otorgues autres, il y a bien sûr un personnage à quatre pattes, Croquette le chien qui sans le vouloir va littéralement booster le moral de Baptiste lequel se met à voir le bon côté des choses, reprend confiance, regarde la vie autrement.
C’est un livre sympa à découvrir, une histoire simple qui nous montre que parfois/souvent un « rien » suffit à changer notre quotidien et qu’on peut trouver le bonheur dans os choses simples. La conclusión peut surprendre mais je n'en dis pas davantage.

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Opinión de un comprador: Un road bd long et lancinant, prenant au début mais qui se perd dans une écriture au style administratif et rigide. Déçu igual cette histoire originale igual son sujet et ses images n'en reste pas moins v d'un sens profond qui ne vient jamais. Ecrire pour écrire est certes fascinant, mais le narcissisme est un piège tendu à ceux dont l'image ne fait plus douter du jeu de l'observateur et del chose observée.

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